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Souverainté Populaire contre Justicialisme Humanitaire
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Un pouvoir jusiticiaire fondé sur l’individualisme roi est en train de pousser les peuples européens au suicide. Nous devons reprendre la responabilité pour soi même et rétablir des peuples souverains avec sur base de contrats sociaux visant a la reproduction et durabilité sociale. Nous essayons d’aider ce processus.

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Le non-sens des Droits de l’Homme

Les plus grands crimes sont le plus souvent commis au nom d’idéaux humains. “Les Droits de l’Homme sont devenus un cache-misère pour les décisions idiotes des cours de justice et administrations” selon Lord Hoffmann, qui fut longtemps à la tête du système judiciaire anglais, et très actif défenseur des Droits de l’Homme. L’extension des droits individuels s’est faite au détriment du bien collectif, et des institutions collectives, accouchant ainsi d’un programme d’élimination des libertés et des peuples. Les peuples européens sont de plus en plus coincés dans ce programme, et doivent trouver une issue à courte échéance s’il ne veulent pas disparître.

En 1967, l’assemblée générale de l’ONU adopta un droit universel à la reproduction illimitée, selon lequel tout personne a naturellement droit à procréer autant d’enfants qu’elle veut, et cela quand il lui plaît. Alors que la Chine enfreint clairement ce droit, le Nigeria le promeut de façon exemplaire. Ainsi, l’ONU prédit une population nigérienne de presqu’un milliard en 2100, environ autant que la Chine. Bien sûr, ces habitants, ainsi que 5 autres milliards, ont tous droit à résider en Europe et à y recevoir des aides sociales, puisque le Nigéria ne leur garantit pas les Droits de l’Homme. La jurisprudence actuelle ONU-CERD considère comme un crime tout discours qui considérerait ces immigrants comme responsables de leur faible performance sociale et économique, et tout discours qui pourrait leur donner l’impression de ne pas être les bienvenus en Europe.

Cette jurisprudence ONU-CERD programme un échec certain pour le futur, dont nos enfants et petit-enfants “racistes” seront tenus responsables. Cette jurisprudence fut le fruit des efforts de lobbying d’organisations pour les Droits de l’Homme payées par les Etats européens. Ces mêmes organisations sont maintenant en train de faire pression pour que cette jurispridence ONU-CERD soit transposée dans les lois nationales européennes.

Abandonner la dictature judiciaire

Les élus choisis démocratiquement n’ont quasi plus aucune influence sur les affaires d’importance vitale pour les peuples européens. En effet, le pouvoir a été transféré dans les mains des juges. Le rôle des élus se réduit à financer des instituts de défense des Droits de l’Homme, qui poussent les juges dans des directions de plus en plus répressives, antidémocratiques et génocidaires. Des lois liberticides et des jugements sans appel établissent de nouveaux droits arbitraires pour quelques-uns au prix de nuisances irréversibles pour l’ensemble de la société.

Les dommages les plus irréparables se passent dans le domaine du (non-)droit d’asile. La Cour Européenne des Droits de l’Homme de Strasbourg a directement créé le traffic d’humains, en ce qu’elle a interdit en 2010 aux gardes-côte italiens de raccompagner les bâteaux d’immigrants clandestins à leur point de départ. Cette décision, et d’autres du même accabit ont entraîné un afflux croissant de clandestins, provoquant au passage des milliers de noyades. Ces montagnes de cadavres ont alors servi de justification aux autorités européennes pour d’une part renforcer l’immigration illégale de masse, et d’autre part permettre la destruction illégale des bâteaux. Il s’agit d’un cas typique, où une mauvaise réglementation amène plus de mauvaises réglementations. A l’origine de tout ceci, le principe de non-refoulement inventé par la Cour de Strasbourg et le Conseil de l’Europe est un exemple de réglementation particulièrement mauvaise, qui ne peut être corrigée par aucun gouvernement européen.

20 ans de justice européenne des Droits de l’Homme ont infligé plus de dégâts à la Grèce que 400 ans de domination turque. En 20 ans, 3 millions de prolétaires venant de sociétés islamiques sont arrivés dans un pays de 11 millions d’habitants, et ce n’est que le début. Ces nouveaux arrivants font valoir leurs Droits (de l’Homme) en demandant des aides sociales, qui leur permettent d’avoir une progéniture nombreuse. En même temps, ils n’ont aucune chance réaliste de s’intégrer, ni dans l’économie grecque, ni dans la société grecque - et leur progéniture encore moins. Ils vont se séparer eux-mêmes de la société grecque en se regroupant entre eux, et demander leur part des maigres ressources grecques de façon de plus en plus violente, et les Grecs seront tenus comme coupables de discrimination raciale. La même chose se passe en Sicile, ainsi qu’a Londres-Tottenham, Stockholm-Husby, Malmö-Rosengarden, Paris-Clichy-sous-Bois, Berlin-Neukölln et de nombreux autres endroits en Europe. Si cela continue de cette façon, les gènes et la culture européennes vont disparaître au cours de ce siècle. La Commission Européenne et les leaders politiques à Bruxelles se contentent officiellement d’une “immigration controllée” d’un flux de 50 à 80 millions d’Africains d’ici 2050.

Tout ces développements sont imposés aux peuples européens par le biais de jugements sans appel. En étendant ainsi les principes légaux, les juges ont étendu leur propre pouvoir bien au-delà de tout contrôle démocratique. Il se sont engagés dans la destruction du Souverain.

Arrêter la révolution culturelle, promouvoir une autonomie politique

Nous devons reprendre le pouvoir législatif actuellement usurpé par les cours de justice européennes. Nous devons arrêter le non-sens des Droits de l’Homme, et repenser les droits de l’Homme sur des bases saines, en considérant leur sens et leur but - par exemple en se basant sur la théorie du contrat social de Rousseau. Nous devons abandonner la bien-pensance, et lui préférer la clareté de la pensée. Nous devons aussi arrêter d’attribuer la responsabilité de nos maux à quelques bouc-émissaires riches et puissants, qui vivent en général à New York et que nous appelons, suivant leur orientation politique, “ennemi de classe” ou “sionistes”. Au lieu de cela, nous devons reconnaître que les problèmes sont bien trop grands pour pouvoir être contrôlés par un petit nombre de personnes, et qu’en général, les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent.

Pour garantir une certaine stabilité, il est nécessaire d’avoir des individus responsables, constituant eux-mêmes des nations responsables et souveraines, c’est-à-dire qui contrôlents leur territoire et leur politique. Au lieu de se limiter à la durabilité écologique, nous devons nous concentrer sur la durabilité sociale, c’est-à-dire la capacité d’une société à se perpétuer. Nous devons pour cela admettre que donner naissance à un trop grand nombre d’enfants, dont nous ne pouvons raisonnablement garantir le futur, est le “péché originel”, source des principaux maux sociaux et écologiques. Ce mal doit être traité par des incitations et des sanctions adaptées à chaque contexte particulier, sans s’encombrer des Droits de l’Homme, mis à part les plus basiques tels que la proportionalité.

Cette réorientation culturelle ne peut être accomplie que par le peuple. Les élites politiques et médiatiques sont trop impliquées dans la destruction culturelle et légale en cours. Elles ne changeront que lorsque le climat politique sous-jacent les forcera à changer, ou du moins le leur permettra. Nous devons d’abord changer notre culture depuis le bas pour que les choses puissent changer en haut.

Dans les dix prochaines années nous devons accomplir un changement culturel aussi profond que le changement accompli en 40 années par les révolutionnaires culturels de 1968, avec leur programme

(Eric Zemmour). Dans 10 ans, la grande migration prolétarienne aura déjà infligé de grands maux à l’Europe, mais il n’est jamais trop tard pour corriger un ordre mondial profondément injuste. Cette tâche peut sembler intimidante, mais une crise signifie toujours aussi une chance - plus grave est la crise, plus grande est la chance. Aujourd’hui déjà, certains signes d’espoir apparaissent. Par exemple, le gouvernement britannique veut quitter la Convention Européenne des Droits de l’Homme, et le président de la Hongrie critique très dûrement les “folles” politiques d’asile de l’Union Européenne. Ce dernier engage une consultation approfondie de son peuple sur les questions d’immigration, qui ont été taboues partout ailleurs jusqu’aujourd’hui.

Actuellement, les révolutionnaires culturels de 1968 ont les choses bien en main, et renforcent même leur pouvoir, provoquant des absurdités toujours plus grandes. Ils suivent en ceci le chemin jacobinien de la “nouvelle terreur de la vertu”. Le culte des droits de l’individu au-dessus de tous les autres droits amène mécaniquement les intérêts particuliers à diverger au point de devenir irréconciliables. Les révolutionnaires culturels ressemblent ainsi de plus en plus à la Bande des Quatre.

Nous avons beaucoup à faire. Si nous sommes absents des médias mainstream et de la politique, c’est surtout à cause de notre propre incompétence. En dehors des britanniques de Migration Watch, il ne semble pas y avoir d’Organisation Non Gouvernementale ou think tank à qui les journalistes pourraient parler. Certains journalistes seraient intéressés à rapporter de temps à autre des opinions non-conformes, au lieu de se contenter des habituels Amnesty International ou Pro Asyl.

Ce que vous pouvez faire

Pour commencer, nous devons envoyer des lettres bien informées aux parties concernées. Pour cela, nous pouvons nous aider et nous corriger mutuellement, ainsi que préparer des documents à joindre à de telles lettres, pour permettre à plus de gens d’écrire de telles lettres. Certaines de ces lettres peuvent être assez générales pour permettre à des leaders partageant notre avis d’inciter des groupes à nous aider à changer la situation.

Au tout début, il est souhaitable d’envoyer un tel appel à nos voisins et nos amis.

Puisque les médias mainstream et les institutions sont aux mains des révolutionnaires culturels, nous devons faire acte de présence dans la rue. Ces derniers mois, les manifestations du lundi ont rassemblé des dizaines de milliers de gens dans les rues de Dresde et d’autres villes allemandes, et les manifestations italiennes “Stop Invasione” furent encore plus grosses. Je ne mentionne pas les noms des organisateurs, car il est mieux d’appeler nos concitoyens à l’action en notre propre nom. D’une part cela évite que les médias ne puissent mettre en place des campagnes de diffamation efficaces en se concentrant sur les organisateurs, et d’autre part, plus fondamentalement, cela prouve que nous agissons en notre propre nom.

Une enquête de l’Université Technique de Dresde montra que le manifestants du lundi sont en moyenne âgés de 48 ans, masculins, plutôt aisés, et bien informés. Ces citoyens vont dans la rue, car ils ne voient ni les médias, ni les politiques défendre leurs intérêts. Cela dit, ces manifestations, tout en satisfaisant les besoins psychologiques basiques, sont en même temps une forme de reconnaissance d’impuissance politique. L’étape suivante consiste en une communication politique efficace.

Pour cela, nous créons des listes mail et des sites d’information collaboratifs. Une liste mail de langue allemande a été créée. Vous pouvez installer gratuitement le programme Subversion sur votre ordinateur pour lire et écrire les fichiers du présent site web.

Des nouveautés seront annoncées ici. Vous pouvez aussi contacter phm at a2e de ou Hartmut Pilch sur Facebook - je suis multilingue. Mais ne m’attendez pas : créez votre propre site web de présentation systématique, et publiez vos propres lettres et analyses. Vous pouvez volontiers réutiliser les textes du présent site web sans créditer la source. Commencer par envoyer une lettre à vos concitoyens leur expliquant pourquoi et comment il devraient s’activer. Par exemple, donnez à vos connaissances et à vos amis cette lettre sous forme papier.

Nous recherchons, rassemblons et publions des informations factuelles et préparons des lettres et des appels à l’action. De consommateurs d’information, nous devenons ainsi producteurs d’information.

Nous synthétisons les informations sous la forme de dossiers pour renseigner les autres, ainsi que nous-mêmes.

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© 2015-05-16 Hartmut PILCH